Armelle Choquard
Bharata Natyam
« Armelle arrive juste de Madras, ses poses accomplies jusqu’à l’extrémité effilée de ses doigts susciteraient des murmures de convoitise chez les danseuses de pierre sculptées dans les temples somptueux de Tanjore et de Chidanbaram. Mais lorsque l’émotion la saisit et qu’un sourire illumine son visage, c’est dans la salle que surgissent des bruissements de plaisir. »
Mireille J. Guézennec POUR LA DANSE
« Armelle, la beauté en spectacle : Belle et profondément femme, elle avance sur le plateau au rythme de la musique. Chaque partie de son corps se décompose en mouvements gracieux et précis, ses mains aériennes racontent, son visage exprime. (…) Danseuse aux mille personnages, elle nous entraîne dans un univers mystique fait de beauté et de sentiments. »
LE BERRY RÉPUBLICAIN
« Armelle, déesse du Bharata Natyam : Armelle allie une grande force d’expression à la beauté, la grâce, la souplesse et une extrême mobilité du geste qu’elle sait rendre précis. Son visage se teinte d’une infinité d’expressions, de mimiques dignes de Marceau, tandis que ses longs doigts, très déliés font des arabesques dans l’espace, en fonction d’un langage codifié. (…) Un spectacle d’Armelle est féerique. On y sent tout à la fois son plaisir de danser, soutenu par une brillante technique et sa profondeur d’âme, sa capacité d’intériorisation selon la philosophie indienne. »
Claudie Léger LA TRIBUNE, LE PROGRÈS
« En libérant le geste de ses carcans par une constante écoute de ce que propose la composition contemporaine d’Annabelle Playe, Armelle Choquard a pu, entière, se plonger, et, portant le spectateur au cœur du neuvième rasa, l’émotion suprême : la sérénité. Ainsi nous baignant dans de la sensation pure, loin de tout formalisme, “Tree Dance” ouvre la voie d’un Bharata Natyam du XXIe siècle. »
Francis Cossu LA MARSEILLAISE
« Armelle a su nous émouvoir au plus profond de nous-même par les tragédies qu’elle vivait, et nous transmettait dans un regard, un demi sourire ou une inflexion de la tête, des émotions profondes. (…) La virtuosité, la grande pureté des lignes, la précision de la position d’un doigt, conféraient à ces prestations un caractère fascinant. »
NICE MATIN